Léon Woronꜩoff

Notes ponctuelles

Bonjour le monde

Dernière miſe à jour

Vous trouverez ici mes notes ponctuelles, d' où le nom de cette page.

Elles ſont appelées à contenir des ſujets auſſi divers et variés que les ſujets ſur leſquels j' ai envie d' écrire.

Journal extime fait maiſon

N' arrivant plus à utiliſer la nouvelle verſion d' un moteur de journal extime (que d' aucun appelle: “cyber-carnet”) bien connu, j' en ai créé un très rudimentaire qui ſ' étoffe avec le temps.

Je profite de cette page pour décrire ci-après le fonctionnement de celui-ci.

Impréciſion de certaines dates

Au départ de la création de ce moteur de journal extime, je voulais m' oppoſer au côté journaliſation d' un journal extime et donc, il n' y avait aucune date écrite. Pour les moyens techniques où j' avais beſoin de dates, je me baſais ſur la date du fichier. Dès lors, par manque de ſauvegardes ſuffiſement récurentes, il eſt des articles dont je n' ai aucune date de création, mais bien la date d' une miſe à jour (ce qui explique qu' il peut y avoir pluſieurs articles qui ſerait écrit le même jour, en fait, ils ont plus certainement été mis à jour le même jour alors que je n' ai retrouvé nulle date de création de l' article dans mes archives). Par ailleurs, il en eſt de même concernant la date de certains commentaires, le plus ſouvant, non ſeulement à cauſe de corrections, mais ſimplement parce les commentaires ultérieurs d' un même article ont changé la date du fichier, dans ce cas, je met plus ou moins arbitrairement une date au premiers commentaires (à vrai dire, je calcule, en diviſant par le nombre de commentaires entre la date de rédaction de l' article et la date du dernier commentaire).

Les commentaires

Soyez reſpectueux envers tout le monde.

Afin de préſerver une certaine unité, je me réſerve le droit de modifier la forme de vos commentaires, mais en aucun cas le fond. Dès lors, je vous prie de ne vous offuſquez en rien de tels modifications.

Par exemple, ſi vous êtes français et utiliſez la typographie françaiſe, je vais ſimplement ajouter du code pour dire que c' eſt du français de france, mais ſi vous êtes belge comme moi et que vous utiliſez de la typographie françaiſe, je vais modifier votre commentaire pour qu' il reſpecte les normes typographiques belges. Ou encore, ſi vous ponctuez mal vos phraſes, je corrigerai cela.

Pour ceux qui ſavent ce que cela veut dire, les baliſes du langage de deſcription de donnée pour les pages hyperliées dans ſa verſion extenſible 5.0 ſont acceptées, mais aucun programmes de quelque langage que ce ſoit ne l' eſt.

Concernant le contenu des commentaires

Aucun de contenu illégal y compris ceux qui ne le ſont que pour une part de la population comme par exemple les mineurs d' âge n'eſt accepté (ce, au regard de la loi belge et, pour les commentateurs non belge, de la loi de leur propre pays).

Il m' arrive de faire le ménage

Si d' aventure quelqu' un ſe demandait où eſt paſſé tel ou tel article, ſachez qu' il m' arrive régulièrement de faire le ménage en archivant certaines notes ponctuelles. D' autres ſont retiré de votre vue et ſe retrouvent au côté de ceux non encore publié (ces derniers étant encore incomplet) afin d' être retravaillé.

Un défaut viſible

Je ſuis très mauvais en français écrit, j' ai d' ailleurs du mal à voir mes fautes. Je vais m' efforcer de me corriger un maximum que ce ſoit en me reliſant ou en utiliſant des correcteurs orthographiques et grammaticaux, voire en demandant de corriger à quelqu' un de très proche 😉, enfin, vous pouvez me ſignaler quelque faute (ou erreur) que ce ſoit; pour autant, tout cela ne ſera certainement jamais ſuffiſant, dès lors, je m' excuſe par avance ſi mes fautes irritent vos yeux et vous prie d' être indulgent à ce ſujet.

D' un point de vue technique

Flux Atom

Cette page de notes ponctuelles contient un “flux de ſyndication” au format Atom 1.0.

La “ſyndication” eſt utiliſée pour être informé des miſes à jour de doſſiers de pages hyperliées ſans devoir conſulter ceux-ci. Afin de pouvoir conſulter un fil de ſyndication, il faut un logiciel prévu à cet effet; on appelle généralement ce type de logiciel un “agrégateur”.

Voici une liſte de quelques agrégateurs:

Anti-meſſages non ſollicités

Il y a un anti-meſſages non ſollicités très rudimentaire pour protéger cette page de notes ponctuelles.

D' une part, Il ſ' agit ſimplement de voir ſi un des mots contenus dans cette liſte de mots (alimentée par des mots choiſis dans les meſſages non ſollicités que je reçois) eſt préſent dans le meſſage, ſi c' eſt le cas, le meſſage n' eſt nullement envoyé et l' utiliſateur en eſt informé, ainſi, ſi c' eſt un humain, il pourra modifier ſon meſſage pour pouvoir envoyer celui-ci.

D' autre part, en analyſant de manière ſemi-automatique les meſſages non ſollicités qu' on eſſaye d' envoyer, je conſtitue également une liſte noire d' adreſſes réſeau. Si un utiliſateur eſt dans la liſte noire, un meſſage l' en informe tout en lui donnant ſon adreſſe réſeau afin de lui permettre de m' informer du fait que l' adreſſe réſeau bloquée eſt employée de manière légitime.

Une adreſſe réſeau eſt ſoit une ſuite de 4 nombres ſéparés par le ſigne “.”, nombres conſtitués de 1 à 3 chiffres pour la verſion 4 de ce protocole, ſoit une ſuite de 8 nombres ſéparés par le ſigne “:” nombres conſtitués de 4 chiffres hexadécimaux (chiffres allant de 0 à f) pour ſa verſion 6. Il exiſte deux manière d' obtenir une adreſſe réſeau, à ſavoir “fixe” et “dynamique”. Si vous ne ſavez de quel type eſt la vôtre, elle doit être dynamique; dans ce cas, elle peut être changée régulièrement par votre Fourniſſeur d' Accès à Internet (lors du démarrage de votre ordinateur ainſi qu' au bout d' un certain temps de connexion).

Si par haſard votre adreſſe réſeau eſt bloquée à tord et bien, ſoit vous attendez d' avoir une nouvelle adreſſe réſeau, ſoit prévenez-moi par commentaire en m' informant du fait que cette adreſſe réſeau n' eſt nullement utiliſée que par des envoyeurs de meſſages non ſollicités (ce, en préciſant l' adreſſe réſeau du meſſage qui a été bloquée à tord).

Si votre adreſſe réſeau eſt fixe et qu' elle eſt bloquée à tord, je vous conſeille fortement d' en informer votre fourniſſeur d' accès à internet et de lui demander de changer celle-ci, car il y a beaucoup de chances qu' elle ſoit bloquée par tout un tas d' anti-meſſages non ſollicités. Par ailleurs, il ſerait bon de chercher pourquoi cette adreſſe réſeau eſt ſur liſte noir (virus, récupération d' une adreſſe réſeau précédement dynamique ou autres raiſons).

Article à retardement

La publication des articles ſur la page d' index des notes ponctuelles eſt retardée d' une heure (à compter de la date de dernière modification de ceux-ci), ce qui me permet de les corriger tranquillement. Les pages individuelles des articles ne ſont nullement affectées afin d' une part de n' avoir aucune diſcontinuité dans leurs diſponibilités et d' autre part d' avoir une poſſibilité d' affichage des articles d' une grande ſimplicité pour pouvoir les corriger. Le fil de ſyndication Atom 1.0 retarde également la publication des articles d' une heure.

Choix des articles par catégories

Le choix des catégories pour les articles eſt géré par un formulaire à choix multiple (ce qui eſt la meilleurs façon de procéder pour un moteur de journal extime dans le cadre du choix de catégories, je n' ai d' ailleurs jamais vu un ſeul autre moteur de journal extime ou autre geſtionnaire de contenu faire de la ſorte et c' eſt un tord!).

Rétro-lien

Un “rétro-lien” eſt un moyen (technique) de communiquer entre deux journaux extimes par langage de programmation côté ſerveur et communiquant via le langage à éléments étendu dont le but (concret) eſt de faire un commentaire (appelé rétro-lien et d' ordinaire ſéparé des commentaires ordinaires) qui n' a pour fonction que de ſignaler dans un article qu' une réponſe à cet article à été formulée dans un article, ſur le journal extime de l' auteur.

Dans ma volonté d' étoffer le moteur de ce journal extime, j' y ai ajouté un geſtionnaire de rétro-lien.

Malgré mes effort pour ne plus que cela arrive, alors que le rétro-lien ſe fait, une erreur apparaît ſur au moins un moteur de journal extime que j' ai utiliſé à des fins d' eſſais, le meſſage d' erreur prétendant que le lien de rétro-lien n' en eſt un. Puiſque ça marche malgré cet affichage d' erreur et que je n' ai aucune idée d' où cela vient, j' ai laiſſé les choſes tel quel et ai ſupprimé ce moteur de journal extime qui ne ſervait que pour ces eſſais.

Il y a également eu un problème de pare-feu que j' ai finalement réglé, il fallait ajouter l' agent utiliſateur dans les méta-données envoyées au ſerveur (encore merci à Kenny de Domaine Public).

Frimouſſes

Il y avait un petit geſtionnaire de frimouſſes en caractères Unicodes et précédemment en image.

Je vous invite à utiliſer les frimouſſes (et autres) en carractères Unicodes, comme par exemple: 😙, 😗, 😘, 😚, 😳, 😫, 😪, 😴, 😋, 😛, 😝, 😜, 😬, 😉, 😌, 😅, 😆, 😂, 😁, 😄, 😀, 😃, 😊, ☺, 🙂, 😔, 😐, 😑, 😒, 😥, ☹, 😢, 😭, 😓, 😠, 😡, 😤, 😣, 😕, 😞, 🙁, 😦, 🙄, 😯, 😲, 😮, 😖, 😵, 😟, 😧, 😩, 😨, 😰, 😱, … ou encore 🙋, 🙏 ou autres.

Si vous utiliſez des ſuites de caractères à cet effet, votre commentaire ſera modifié, voire cenſuré, ne fuſſe qu' en partie (bon, au début, je vais être gentil, mais c' eſt à vous de faire l' effort de paſſer aux caractères Unicodes pour les frimouſſes, donc, ſi ſyſtématiquement je dois paſſer derrière vous, je riſque de perdre patience…).

Certains caractères Unicodes pourraient avoir des problèmes d' affichage, en effet, les polices de caractères ſont ſouvent un peu en retard dans l' ajout de nouveau caractères Unicode et certaines frimouſſes qui était en image ont été remplacé par des caractères Unicode qui ſemble un peu trop récent pour certaines polices de caractères.

Pré-ⅩⅨè ſiècle

L' “ſ” (U+017F) dit: “s long” (qui eſt la première minuſcule du “S”) eſt celui qui ſe trouve en début ou à l' intérieur des mot, l' “s” généralement utiliſé actuellement étant, au départ, l' “s final” (auſſi dit “s rond”).

Cette lettre eſt apparue vers la fin é ſiècle avec les autres lettres carolines (ſous le règne de Charlemagne). Durant le ſiècle qui ſuivi ſon apparition, il y eu le “s final” qui, alors bien loin d' être un concurrent, ſervait de forme alternative dans les fins des mots, voire des phraſes. L' utiliſation de la lettre “ſ” à pratiquement diſparue entre la fin du ⅩⅧé ſiècle et le premier quart du ⅩⅨè ſiècle en typographie (excepté en Allemagne et, dans une moindre meſure, en Scandinavie), ſa diſparition (comme on peut ſ' en douter) à été plus lente dans l' écriture manuſcrite.

Ma paſſion pour la typographie et pour la hiſtoire ſont certainement ce qui joue le plus grand rôle dans mon choix d' utiliſer ce caractère (que je rêve de faire revivre).

J' ai même généraliſé l' utiliſation du “ſ” au ſite.

Différentes règles d' utiliſation ayant exiſté au cours du temps, j' ai fait ſelon ce qui me ſemblait le plus cohérent: le “s final” pour la fin des mots et le “ſ” partout ailleurs, à noter que pour “ſ'”, l' apoſtrophe fait partie du mot (puiſqu' il ſ' agit de l' éliſion d' une autre lettre), ce qui fait que cet “ſ” commence ce mot.

Par ailleurs, après avoir expérimenté énormément de ligatures, j' en ai gardé certaines (les traditionnels “ff”, “ffi”, “ffl”, “fi”, “fl” et “ſt” ainsi que les germaniques “Ꜩ” et “ꜩ” du fait de leur emploi dans mon nom).

Autre changement typographique: utiliſer les eſpaces comme on le fait en wallon, en effet, les mots finiſſant avec une apoſtrophe ſont lié au mot ſuivant en français, or, ce ſont des mots à part entière, c' eſt donc illogique, le wallon eſt bien plus logique en les ſéparant d' une eſpace du mot ſuivant.

Enfin, je viens d' un temps où on parlait encore de “h aſpiré” (par oppoſition à “h muet”) et où certains profeſſeurs ſe ſont évertués à nous faire prononcer ces “h”. Cette différence ce retrouve encore dans le fait de faire une éliſion ou non avant un mot débutant par “h”, ce qui n' a rien de logique puiſque, pour la plupart des gens, les “h aſpiré” ne ſont plus prononcé, donc, j' ai décidé d' être logique en prononçant tout “h” et en le marquant par écrit en enlevant les éliſion ſus-mentionnées, je vais ainſi à l' encontre de la hiſtoire linguiſtique.

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Vous attendez un merci?

Dernière miſe à jour

Un acte altruiſte eſt, en principe, fait ſans rien attendre en retour.

Alors, pourquoi autant de gens ſe plaignent qu' on ne leur diſe: “merci”?

Parce que cela fait partie de la politeſſe de baſe, dès lors, ſ' en plaindre eſt éducatif (ou un moyen de faire remarquer à des gens mal éduqué qu' ils le ſont).

Un “merci” eſt éminemment ſympathique et toujours appréciable, mais ſ' il n' eſt en rien ſincère, il eſt inutile, pire, il fauſſe le dialogue, alors, ſi quelqu' un n' a aucunement envie de dire merci, c' eſt un moindre mal.

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Quand baliſer correctement aide à la compréhenſion

Dernière miſe à jour

À mon humble avis, les gens qui rédigent des pages hyperliées qui ont la habitude d' écrire des abréviations ſans les baliſer correctement devraient faire un effort…

En au moins ſix ans ſur l' inter-réſeau, je me ſuis toujours demander ce que voulais dire “amha” (ſans vraiment prendre la peine de chercher une réponſe à cette queſtion, je l' avoue) et, durant ces 6 ans, je n' ai jamais vu que quelqu' un ai pris la peine d' écrire <abbr title=“À Mon Humble Avis”>ÀMHA</abbr>. J' ai dû utiliſer un moteur de recherche pour trouver la ſignification de ce mot dont je ne me doutais nullement qu' il ſ' agiſſait d' un ſigle.

J' avoue ma fainéantiſe qui, tout ce temps, m' a fait paſſer outre ce “mot”, le reſte de la phraſe étant forcément toujours compréhenſible, mais, il n' empêche que je ſuis à chaque fois paſſé à côté du côté ſubjectif de la phraſe, alors, de grâce, ſi vous écrivez une page hyperliée, faites un effort, ne préſumé jamais des connaiſſances de vos lecteurs et baliſez correctement chaque et abréviations de vos pages, il y va de leur liſibilité!

Majuſcule et liſibilité

C' eſt preſque 17 ans après avoir rédigé cet article (et preſque 8 ans après la précédente miſe à jours) que je remarque (par haſard) autre choſe concernant les abréviations et cette fois-ci, celle qu' on connaît: dans certains contextes, pour les titres par exemple, il arrive que certains mettent tout en majuſcule, hors, ſi un tel écrit (ou plus certainement ſegment d' écrit) contient une abréviation et ſi celle-ci peut ſe lire comme un mot, mais eſt habituellement lue lettre par lettre, et bien, comme tout eſt écrit en majuſcule, on peut la confondre avec un mot et ſe demander ce que cela veut dire alors même qu' on connais l' abréviation elle-même. Bref, dans ce cas précis, cela ajoute de la confuſion.

Donc, non ſeulement cela ajoute une problématique à la queſtion des abréviations, mais auſſi cela montre un autre problème: écrire tout en majuſcule entraîne certains problèmes de liſibilité (même ſi c' eſt dans un contexte ſpécifique) et il me ſemble (donc) qu' il vaut mieux (auſſi) éviter au maximum d' écrire tout en majuſcule et privilégier les “petites majuſcules” dans le cas où on veut écrire en majuſcule, l' avantage étant, bien ſûr, la diſparition de ce défaut de liſibilité, voire d' autres tout en utiliſant les majuſcules (qui, il faut bien le dire n' exiſte encore que pour des raiſons hiſtoriques, d' une part liée à l' eſprit de la “renaiſſance”, période que je trouve problématique à bien des égards et à l' imprimerie qui, haſard de la hiſtoire, eſt apparue en plein durant la période hiſtorique ſus-mentionnée) — j' ajoute que les majuſcules ſont, à vrai dire, tout à fait inutiles: non ſeulement la ponctuation ſuffit, d' ailleurs, nombre de ſyſtèmes d' écritures ſans oppoſition entre majuſcule et minuſcule exiſtent et, pour aller plus loin encore, nombre de ces ſyſtèmes ſe ſont longtemps paſſé de ponctuation et leur liſibilité eſt avant tout culturelle (ceci étant, bien ſûr, étant, depuis, habitué à la ponctuation, il ſerait difficile de ſ' en paſſer et il n' y a aucune raiſon de le faire).

Les informaticiens particulièrement atteints

Encore un petit ajout alors que les 17 ans de cet article ſe rapprochent… (…ſoit une ſemaine après la précédente modification)

Alors que j' étais en train de programmer je me ſuis dit que ſi on utiliſait ſouvent une variable nommée i dans les boucles, c' eſt parce que ce devait être l' abréviation de “iteration” et j' ai vérifié par acquit de conſcience et en fait non, i eſt l' abréviation de “integer”, ce qui montre à quel point le ſens d' une abréviation courtement utiliſée (au point de n' avoir jamais cherché à la comprendre — ça doit faire plus de 35 ans que je programme, même ſi je n' utiliſe la variable i que depuis maximum 25 ans) peut être mal compriſe et donc perdre ſon ſens original ou même en changer (et plus l' abréviation eſt courte, plus elle a de chance d' être confuſe et donc de perdre ou de changer de ſens).

Concluſion

Je penſe que le problème eſt avant tout l' utiliſation d' abréviations et autres ſigles, franchement, les quelques ſecondes économiſé par abréviations ne changerons pratiquement rien à votre vie.

J' ai même l' impreſſion que c' eſt une maladie moderne que d' abſolument chercher des abréviations au moindre nom de programme, à la moindre aſſociation ou que ſais-je encore.

Les abréviations en ſoi déſervent la liſibilité, il faut refuſer cette pratique!

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Copie du texte alternatif

Dernière miſe à jour

“Voici une image à copier/coller”.

En ſélectionnant la phraſe entre guillemet ci-deſſus (dont le mot image eſt une image avec comme texte alternatif le mot “image”) et en le copiant/collant, le mot image ſera, ſelon votre navigateur (graphique), compris dans le texte copié/collé ou non.

De mon point de vue, le fait que le texte alternatif ſoit également copié eſt un ſigne que le navigateur eſt bien peaufiné.

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Impreſſion et formulaire

Dernière miſe à jour

J' ai décidé de ſupprimer les formulaires dans la feuille de ſtyle pour l' impreſſion conſidérant que les informations qui y figuraient paraſitaient les pages dans leſquels elles ſe trouvent dans le cas d' une impreſſion de ces pages.

Ce n' eſt qu' à appliquer au cas par cas, en effet, il peut y avoir un formulaire qui contient un enſemble d' informations intéreſſante à imprimer. Donc, ſi vous trouvez que c' eſt une bonne idée de ſupprimer les formulaires pour l' impreſſion, vérifiez bien qu' il n' y ait aucune informations pouvant être intéreſſante ſur papier dans chacun des formulaires de vos ſites. Bien ſûr, vous pouvez faire des feuilles de ſtyle ſpécifique à chaque page ou ne ſupprimer que certaines parties de formulaire (a priori, les baliſes textarea et input dont le type eſt text, password ou submit ſont rarement intéreſſants à imprimer, contrairement notamment aux baliſes input dont le type eſt checkbox ou radio par exemple), dans ce cas, penſez bien ce que vous faites, car un formulaire partiel peut être incohérent. Il eſt auſſi poſſible de mettre des attributs class aux parties de formulaire non-imprimées et de les utiliſer dans la feuille de ſtyle d' impreſſion.

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Texte par défaut

Dernière miſe à jour

Suite à un petit problème, j' ai dû utiliſer un navigateur en mode conſole, j' ai alors été ennuyé par un texte par défaut dans une zone de texte, celui-ci avait l' air d' être hors de cette zone de texte et quand j' ai commencé à écrire, mon texte c' eſt écrit à côté, j' ai heureuſement vu que c' était le cas, dans le cas contraire, j' aurais envoyé le texte par défaut avant mon texte.

Une ſolution ſouvent appliquée eſt de ſupprimer le texte par défaut une fois que la zone de texte eſt ciblée à l' aide d' un langage de programmation côté client, mais il y a bien plus ſimple et bien plus efficace…

Mais, avant d' y venir, je tiens à dire que j' ai déjà vu de tels ſcripts très mal fait, en effet, avec ceux-ci, ſi on a le malheur d' écrire quelque choſe dans la zone de texte, qu' un autre élément eſt ciblé et que cette zone de texte eſt à nouveau ciblée, le texte qu' on a écrit ſ' efface. C' eſt le meilleurs moyen de faire fuir vos viſiteurs (ſi ça leur arrive), c' eſt donc, bien ſûr à éviter abſolument. J' ai auſſi vu des ſcripts ſélectionnant le contenu du texte par défaut pour qu' il ſ' efface en écrivant, mais ça rend l' expérience utiliſateur confuſe.

La ſolution eſt toute ſimple: l' attribut placeholder qui eſt prévu à cet effet. Voici un exemple de la partie du formulaire qui nous intéreſſe en XHTML (il y a une zone de texte courte et une longue qui fonctionnent exactement de la même façon avec cet attribut):

<p> <label for="text">Text input</label>: <input type="text" placeholder="Default text" name="text" id="text" /> </p> <p> <label for="area">Textarea</label>: <textarea placeholder="Default textarea" name="area" id="area"></textarea> </p>

Vous pouvez voir le réſultat de l' utiliſation de l' attribut placeholder.

Comme j' ignorais l' exiſtance de cet attribut, j' ai développé tout un mécaniſme à l' aide d' un ſcript côté client. À des fins d' archives, voici ce que j' ai élaboré, (mais il ſ' agit d' une mauvaiſe ſolution!):

Pour éviter le problème évoqué au début (et j' ai déjà remarqué que certains utiliſateurs envoyaient un texte par défaut ſuivi de leur meſſage), il ſuffit de non ſeulement d' effacé le texte par défaut lorſqu' il eſt ciblé, mais auſſi de l' ajouter par par un ſcript côté client plutôt que directement en (X)HTML. Bien ſûr, la conſéquence eſt qu' avec les navigateurs n' interprétant ce ſcript, il n' y a aucun texte par défaut (et comme je l' ai dit, en mode texte, c' eſt moins confus comme ça, donc mieux), il faut donc éviter que ce texte ſoit indiſpenſable à la compréhenſion de l' utiliſation de la zone texte, c' eſt donc l' élément label qu' il faut utiliſer puiſqu' il permet d' indiquer un texte indiſpenſable (qu' on peut ſupprimer avant de l' ajouter comme valeur par défaut de la zone texte, mais penſant qu' il eſt mieux de concevoir les choſes autrement, l' exemple qui ſuit fera ſans cette ſuppreſſion).

Voici donc comment je faiſais avant d' avoir la bonne ſolution déjà indiquée ci-deſſus:

Tout d' abord, la partie du formulaire qui nous intéreſſe en XHTML (il y a une zone de texte courte et une longue qui, dans cette mauvaiſe ſolution, ſont gérées différemment par le ſcript côté client puiſque la première peut avoir un attribut value et la ſeconde non):

<p> <label for="text">Text input</label>: <input type="text" name="text" id="text" /> </p> <p> <label for="area">Textarea</label>: <textarea name="area" id="area"></textarea> </p>

Et voici le fichier ECMAScript (le langage de programmation utiliſé côté client):

function eraseDefaulText() { if (document.getElementById("text").value=="Default text") { document.getElementById("text").value=""; } } function eraseDefaulTextarea() { if (document.getElementById("area").childNodes[0].nodeValue=="Default textarea") { document.getElementById("area").removeChild(document.getElementById("area").childNodes[0]); } } function defaulText() { document.getElementById("text").value="Default text"; var areaText=document.createTextNode("Default textarea"); document.getElementById("area").appendChild(areaText); document.getElementById("text").onfocus=function(){eraseDefaulText()}; document.getElementById("area").onfocus=function(){eraseDefaulTextarea()}; } window.onload=function () { defaulText(); }

Au chargement de la page, la fonction “defaulText” eſt lancée, celle-ci ajoute d' abord un attribut value avec le texte par défaut qu' on veut à la zone de texte cours (récupérée à l' aide de getElementById), idem pour la contenu de l' élément textarea avec createTextNode et appendChild, enſuite, ſi la zone de texte pointée eſt ciblée, on lance la fonction “eraseDefaulText” ou la fonction “eraseDefaulTextarea” (ſelon qu' il ſ' agiſſe de la zone de texte courte ou longue), celle-ci vide la valeur de l' attribut value ou le contenu de l' élément textarea (avec removeChild; il eſt d' ailleurs à noter que ſ' il ſ' agit ici du nodeValue du premier childNodes, [0] donc, ſi vous modifiez ce ſcript en ajoutant quelque choſe avant createTextNode, il faudra compter le nombre d' élément ajouté avant pour ſavoir où ce trouve le nœud enfant qui ſert de texte et remplacer “0” par le nombre correſpondant à celui-ci) ſi elle contient le texte par défaut (ce qui évite de riſque d' effacer le texte que l' utiliſateur écrira).

Mais, il eſt poſſible d' aller plus loin, en effet, l' utiliſateur pourrait avoir cibler ſur l' un des deux élément qui perds ſon texte par défaut quelque part et avant d' écrire quoi que ce ſoit, cibler un autre élément (quelqu' en ſoit la raiſon), pour en ſuite cibler à nouveau cette élément, et le problème, c' eſt qu' il peut avoir oublié le texte par défaut (c' eſt d' autant plus embêtant ſi celui-ci eſt important, même ſi c' eſt une mauvaiſe pratique de le rendre important dans l' abſolut) et cela m' eſt tout autant arrivé, j' ai dû recharger la page pour ſavoir ce qu' il fallait indiquer dans une partie d' un formulaire qui avait perdu ſon texte par défaut). Ainſi donc, ce qu' il faut, c' eſt que, ſi l' endroit où le texte par défaut qui a été effacé eſt toujours vide lorſqu' il n' eſt plus ciblé, remettre le texte par défaut, voici comment:

function addDefaulText() { if (document.getElementById("text").value=="") { document.getElementById("text").value="Default text"; } } function eraseDefaulText() { if (document.getElementById("text").value=="Default text") { document.getElementById("text").value=""; } } function addDefaulTextarea() { if (document.getElementById("area").childNodes[0].nodeValue=="") { var areaText=document.createTextNode("Default textarea"); document.getElementById("area").replaceChild(areaText,document.getElementById("area").childNodes[0]); } } function eraseDefaulTextarea() { if (document.getElementById("area").childNodes[0].nodeValue=="Default textarea") { var areaText=document.createTextNode(""); document.getElementById("area").replaceChild(areaText,document.getElementById("area").childNodes[0]); } } function defaulText() { document.getElementById("text").value="Default text"; var areaText=document.createTextNode("Default textarea"); document.getElementById("area").appendChild(areaText); document.getElementById("text").onfocus=function(){eraseDefaulText()}; document.getElementById("text").onblur=function(){addDefaulText()}; document.getElementById("area").onfocus=function(){eraseDefaulTextarea()}; document.getElementById("area").onblur=function(){addDefaulTextarea()}; } window.onload=function () { defaulText(); }

Tout d' abord, removeChild à été remplacé par replaceChild pour avoir un code ſemblable dans les deux fonctions nomées add(…); dans ce qui eſt ajouté, il y a onblur qui ſert à détecté ſi un élément n' eſt plus ciblé (il y a auſſi onfocusout, mais il ſemble moins bien fonctionner, j' ai donc préféré utiliſer onblur, l' un et l' autre fonctionne de façon légèrement différente, ce qui doit expliquer les problèmes que j' ai eu) et ce pour renvoyer à une des deux fonctions ajoutées très ſemblables aux précédantes qui ne font que détecter ſi le texte de la partie où il y a un texte par défaut eſt vide, ſi c' eſt le cas, le texte par défaut eſt rajouté; il y a pourtant un fonctionnement différent entre la valeur de l' élément input et le contenu de l' élément textarea, en effet, pour ce dernier, lorſqu' on écrit un texte et qu' on l' efface, le texte par défaut ne reviens plus, très certainement que cela fonctionne différemment que par replaceChild, il y a donc une amélioration poſſible que ce ſoit en allant dans le ſens de pouvoir rajouter le texte par défaut en cas de text effacé ou (et cela me ſemble plus cohérent), en empêchant l' élément input de remettre ſon texte par défaut ſi quelque choſe à été écrit puis effacé et qu' il n' eſt en ſuite plus ciblé. En fait, pour y arriver, il faut changer d' approche et être plus “verbeu” (et donc plus élégant) dans la façon dont on ajoute ou enlève l' attribut value de l' élément input, en effet, il faut utiliſer setAttribute et removeAttribute (notez que des problèmes arrivent ſi on mélange les deux façons de faire), voici donc le code de ma mauvaiſe ſolution au final:

function addDefaulText() { if (document.getElementById("text").value=="") { document.getElementById("text").setAttribute("value","Default text"); } } function eraseDefaulText() { if (document.getElementById("text").value=="Default text") { document.getElementById("text").removeAttribute("value"); } } function addDefaulTextarea() { if (document.getElementById("area").childNodes[0].nodeValue=="") { var areaText=document.createTextNode("Default textarea"); document.getElementById("area").replaceChild(areaText,document.getElementById("area").childNodes[0]); } } function eraseDefaulTextarea() { if (document.getElementById("area").childNodes[0].nodeValue=="Default textarea") { var areaText=document.createTextNode(""); document.getElementById("area").replaceChild(areaText,document.getElementById("area").childNodes[0]); } } function defaulText() { document.getElementById("text").setAttribute("value","Default text"); var areaText=document.createTextNode("Default textarea"); document.getElementById("area").appendChild(areaText); document.getElementById("text").onfocus=function(){eraseDefaulText()}; document.getElementById("text").onblur=function(){addDefaulText()}; document.getElementById("area").onfocus=function(){eraseDefaulTextarea()}; document.getElementById("area").onblur=function(){addDefaulTextarea()}; } window.onload=function () { defaulText(); }

Notez que la condition document.getElementById("text").value=="" eſt interchangeable avec !document.getElementById("text").value tout comme document.getElementById("area").childNodes[0].nodeValue=="" l' eſt avec !document.getElementById("area").childNodes[0].nodeValue.

Ma ſolution d' imiter le problème avec la zone de texte long pour la zone de texte cours eſt le contraire de ce que fait l' attribut placeholder et étant donné que celui-ci eſt griſer, c' eſt mieux qu' il ré-apparaiſſe même après avoir écrit puis effacé quelque choſe, d' autant plus que le curſeur ſe met au deſſus de ce texte par défaut lorſque l' élément eſt ciblé; mais ſi vraiment cela vous embête, bien que ce ſoit une bien moins bonne ſolution, vous pouvez utiliſer le ſcript ci-deſſus et même l' améliorer en griſant le texte par défaut (j' ai eſſayé après m' être rappelé que j' avais ſupprimé cet article après avoir découvert le bon attribut, ce afin de compléter autant que poſſible cette article et j' ai fini par laiſſé tombé au bout d' un certain temps d' eſſais infructueux ſachant que de toute façon l' attribut prévu à cet effet fait de toute façon bien mieux; le problème que j' ai rencontré était que quand j' écrivais du texte à la place du texte par défaut dans la zone de texte long, celui-ci ſe griſait lorſque l' élément où il ſe trouve n' était plus ciblé).

Par ailleurs, en reliſant cet article afin de le republier, je conſtate qu' il y a certainement moyen d' optimiſer le code en évitant d' écrire pluſieurs fois le même texte par défaut, mais j' ai encore moins la motivation pour améliorer ce ſcript que lorſque j' ai écrit le paragraphe précédant tout ſimplement parce que celui-ci eſt vain puiſqu' il utiliſe pour rien un langage de programmation côté client (ce qui alourdi ne fuſſe qu' un peu l' affichage et que un petit peu ſ' ajoutant à beaucoup de petit peu, cela devient beaucoup trop au final).

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Sections hiérarchiques

Dernière miſe à jour

Il peut arriver qu' une partie d' un document n' appartienne en rien à la ſection hiérarchique dans laquelle elle ſe trouve. Par exemple, un poſt-ſcriptum ſuivant un titre de deuxième niveau, ſémantiquement, il eſt alors cenſé concerner ce niveau alors qu' il devrait n' être en lien avec aucune partie particulière du document. Dans ce cas, il faut iſoler la hiérarchie de titre en entourant chacun niveau hiérarchique d' éléments section, ainſi, le poſt-ſcriptum n' eſt plus concerné par la hiérarchie de titre et concerne toute la page.

À vrai dire, j' avais déjà réfléchi à la queſtion et décidé d' entourer chaque partie de hiérarchie de ces baliſes, puis, pratiquement, j' ai trouvé ça ennuyant à la longue et j' avais même un peu oublié pourquoi je faiſais ça, j' ai donc laiſſé tombé, mais en y repenſant, il me ſemble que c' eſt une bonne pratique, d' autant plus ſi on indente à chaque section, ça permet d' avoir une certaine vue de la hiérarchie.

Ceci-dis, j' ai ſouvenir d' avoir mal appliqué ce précepte (certainement parce que j' avais oublié pourquoi je faiſais cela), en effet, à chaque nouveau niveau de hiérarchie, je fermais ce qui était alors un élément div, or il ne faut le fermer que quand la ſection hiérarchique eſt finie, c' eſt-à-dire après toutes hiérarchies ſubalternes.

Enfin, un exemple (autre que celui du poſt-ſcriptum quoi que l' idée ſoit ſemblable):

<body> <main> <h1>Lézards</h1> <section> <h2>Caméléon</h2> <p>Ces couleurs peuvent changer.</p> </section> <section> <h2>Dragon de Komodo</h2> <p>Il tue ſes proies en les mordant, les bactéries dans ſa bouche étant mortelles.</p> </section> </section> <section> <p>La ſalamandre, bien que reſſemblant aux lézards eſt un amphibien et non un reptile.</p> </main> </body>

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Au ſujet de l' élément titre

Dernière miſe à jour

Je n' y ai jamais penſé avant mais concernant la queſtion: “faut-il mettre le titre du ſite avant le titre de la page dans l' élément titre (puiſqu' il eſt préférable de mettre les deux)?” Je me ſuis d' abord poſitionné dans l' optique du titre de la page avant, afin qu' on puiſſe voir la différence d' un onglet à l' autre, d' autant plus que l' icône de favori permet d' identifier le ſite viſuellement.

Mais, maintenant, je me dis que le problème eſt que, lorſqu' on enregiſtre pluſieurs documents de pluſieurs ſite dans un même doſſier, afin que tout ne ſoit mélanger, il eſt mieux de mettre le titre du ſite d' abord.

Je conſtate en ne regardant que dans le navigateur que j' utiliſe actuellement qu' il y a 7 lettres définiſſant l' onglet (lorſqu' il y a beaucoup d' onglet), l' idéal eſt donc d' avoir un titre de ſite cours, de maximum 5 lettres afin de laiſſer la place pour un eſpace et le titre de la page, le mieux étant 4 lettres, deux points, un eſpace et le titre de la page. Pour ce ſite, étant donné la longueur de mon nom, c' eſt raté 😉. En tout cas, pour tout document deſtiné au téléchargement, il eſt beaucoup mieux de commencer par le nom du ſite.

Bref, rien n' eſt idéal, et je n' ai maintenant plus de réponſe catégorique (d' autant plus qu' être auſſi limité en lettre, c' eſt vraiment inciter à abrévier et c' eſt problématique d' après moi); il faudrait voir ſ' il eſt poſſible de ſuggérer un titre de fichier différent du titre de la page lors de l' enregiſtrement de celle-ci par un navigateur (je doute que ce ſoit poſſible).

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Plöꜩlich in Walloniſch…

Cela fait longtemps que j' enviſage de le dire, mais il fallait éviter la diffamation alors que c' eſt quelque choſe de vrai mais qui eſt judiciairement nié parce que "habitant en France, il n' aurait pu commettre les faits chez ſa mère en Belgique" (ridicule, mais bon, c' eſt la juſtice belge, je n' oſerais affirmer que la franc-maçonnerie eſt à l' œuvre car je n' en ſais rien et que c' eſt peut-être un autre "réſeau" qui l' eſt, donc, je dis ça, mais je ne dis rien…), et, en ce ſoir (qui a quelque choſe de particulier pour moi), j' ai trouvé:

Frédéric Dubois, fils de Roſa (dit "Lucienne") De Mélis — certainement la ſource de la perverſion en queſtion et femme par remariage de WC (qui vaut à peine mieux) — eſt un mangeur de tartines aux enfants!

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Premier plan-ſéquence

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Jolie évidence (habitus / habere)

Je me habille habituellement où je habite

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Jolie évidence (facultas / factum, mais auſſi affectare — ſans vouloir faire un virelangue)

J' ai la faculté d' affecter à la faculté le fait d'être factuellement facultative.

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Jeux de mots

Il eſt étonnant que je n' ai créé cet article plus tôt.

Je viens de penſer à celui-ci

Ils ſont tous à l' oueſt en Amérique

Même dans mes rêves

Alors que j' étais à moitié réveillé, entre une réflexion du type: “tiens, je me ſuis rendormi” et la continuation de mon rêve en cours (qui ſe paſſait ſur un vaiſſeau ſpatial), ſortant de la cabine pour aller ſur le pont, je dis: “Je ſuis Pamp le mouſſe”, et là: réflexion: “mais c' eſt un jeu de mot” et voilà, j' étais définitivement ſorti de l' état de rêve.

Ce que je me demande, c' eſt ſi c' eſt une réminiſcence (de René Goſcinny ou autre) ou ſi j' ai vraiment inventé ce jeu de mot en rêvant avant de me rendre compte que c' était un jeu de mot.

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La Belgique cenſure un média ruſſe international depuis quelques jours

Préambule

Tout d' abord, je n' ai l' intention de faire la promotion de rien ni de perſonne dans cette hiſtoire, c' eſt pourquoi je vais reſter en partie vague tant ſur le média ruſſe que ſur les ſolutions relativement facile de contournement, car, en bon déſenseur du droit à l' information, je vais vous donner un indice de ſolution, qui, au paſſage, n' a rien d' illégal, la raiſon pour laquelle je préfère éviter de promouvoir une ſolution en particulier eſt que je n' ai aucune envie d' en privilégier une ſur une autre, à vous de vous faire votre propre opinion.

En ſuite, je n' ai aucun problème à exprimer mes opinions politiques, mais c' eſt un autre ſujet qu' il faudrait développer longuement pour être clair et j' ai autre choſe à faire… donc, je vais ſimplement dire, puiſque ceci eſt lié à un conflit et que le vocabulaire que j' emploie eſt en ſoi iſſu de mon opinion ſur le ſujet que cette opinion ne va ni vraiment dans un ſens, ni vraiment dans un autre… Sachant mon nom de famille, vous avez une indication ſur le fait que ce conflit à une implication particulière me concernant (raiſon pour laquelle il faut ſe méfier de ce que je dis puiſque mon affecte eſt impliqué tout en ſe diſant que m' intéreſſant depuis très longtemps aux cultures des belligérants, je connaît aſſez bien ces dernieres …oui, ces dernieres, en effet, j' ai des liens familiaux avec des ruſſes et avec des ukrainiens). Pour réſumer mon avis: c' eſt une guerre fratricide et c' eſt auſſi déplorable que triſte.

Ce qui importe le plus ici, c' eſt le droit à l' information …et à la déſinformation: on peut tout à fait accéder à un média en connaiſſance de cauſe (en ſachant qu' il a un point de vue biaiſé), pour autant ce média eſt-il dénué d' informations? Non! Une guerre paſſe néceſſairement par une guerre d' information et les deux camps diſent néceſſairement tant des vérités que des menſonges, il eſt donc des plus important de pouvoir ſ' informer auprès des deux camps (même ſi on eſt “pour” un camps en particulier, ſinon, on eſt d' une naïveté hallucinante, naïveté dont font hypocritement preuve énormément de nos médias de l' Europe occidentale ſoit dit en paſſant); dès lors, cenſurer le média d' un camps, c' eſt obliger les gens à la naïveté ſur un ſujet, ce qui eſt inacceptable pour un pays qui ſe prétend démocratique (mais le nôtre et ceux de nos voiſins, quoi qu' à différentes échelles, ne le ſont de toute façon plus qu' en apparence).


Preſqu' un ans après la France, la Belgique cenſure à ſa manière un média ruſſe international (bon, au début de l' entrée dans le conflit armé en Ukraine de la Ruſſie, il y eu une inacceſſibilité qui a durée quelques jours qui pourrait venir du fait que le trafic paſſait principalement par la France qui a officiellement cenſuré ce média).

Donc, cela fait quelque jour qu' il y a un problème de ſécurité à la connexion et je viens d' y regardé de plus près… croyant que c' était un problème de configuration de certificat pour utiliſer le protocole informatique permettant la ſécuriſation des données entre le ſerveur (ſoit, pour ceux qui n' y connaiſſent rien, l' ordinateur où ſe trouve le ſite internet) et le client (ſoit, idem, le navigateur de qui va ſur le ſite internet) et oui, il y a un problème de configuration, mais j' ai eu une ſurpriſe, le problème de configuration vient des exécutants du gouvernement belge: le certificat eſt créé pour le nom de domaine “services.belgium.be” qui appartient au Federale overheidſdienſt Beleid en Onderſteuning situé en Bruſſels Hoofdſtedelijk Geweſt (par contre, l' émetteur du certificat, lui, eſt des Pays-Bas 🤔…

J' ai déjà vu un ſite cenſurer par la Belgique, mais c' était il y a des années et il y a des chances pour que, de ce temps là, la ſécuriſation entre le ſerveur et le client étant, alors, très peu utiliſé, il n' y ait eu aucun certificat utiliſé par le ſerveur du ſervice fédéral en queſtion, depuis, ils ont un tel certificat, mais ils doivent encore avoir du mal à faire en ſorte d' avoir un certificat ſpécifique pour les noms de domaines qu' ils cenſurent 🙄…

En voyant cela, j' ai tout ſimplement utiliſé un proxi et voilà, le ſite eſt acceſſible (comme quoi, ce type de cenſure, c' eſt auſſi idiot que “facile” à contourner).

Pourquoi un proxi? parce que tout les réſeaux privés virtuels (qu' il ſoit payant ou non, qu' il ſoit petit ou grand, qu' ils aient un diſcourt de liberté, de ſécurité, de vie privé, … ou non) ſe font de l' argent ſur votre dos en vendant des informations permettant de vous profiler, que ce ſoit pour de la publicité perſonnaliſée ou autre.

Un proxi, c' eſt juſte un programme qui fait écran entre votre connexion et le ſite que vous viſitez, un réſeaux privés virtuels fait la même choſe, mais c' eſt un ſerveur entier avec des tas d' autres outils dont tout ceux chargé de vous ſurveiller.

Pour le reſte, à vous de vous débrouiller, il y a des ſolutions clef en main qui ſont dignes de confiance (quoi que néceſſitant une certaine reconfiguration pour être optimal et là, il vaut mieux ſavoir ce qu' on fait) du fait que ce ſont des logiciels libres utiliſant des protocoles en leſquels les ſpécialiſtes ont confiance et qui ſont ſuffiſamment connu que pour être vérifié par des paires (à part le navigateur qui eſt trop complexe à vérifier pour les ſolutions les plus clef en main).

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Table des matières

  1. Bonjour le monde
  2. Vous attendez un merci?
  3. Quand baliſer correctement aide à la compréhenſion
  4. Copie du texte alternatif
  5. Impreſſion et formulaire
  6. Texte par défaut
  7. Sections hiérarchiques
  8. Au ſujet de l' élément titre
  9. Plöꜩlich in Walloniſch…
  10. Premier plan-ſéquence
  11. Jolie évidence (habitus / habere)
  12. Jolie évidence (facultas / factum, mais auſſi affectare — ſans vouloir faire un virelangue)
  13. Jeux de mots
  14. La Belgique cenſure un média ruſſe international depuis quelques jours
  15. Table des matières